La Société de l’histoire de France, qui n’a pas interrompu ses travaux au milieu des circonstances difficiles que nous avons eu à traverser, vient de voir terminer une de ses publications les plus importantes et les plus nationales, qu’elle avait depuis longtemps confiée au zèle de M. […] Il y a, ce me semble, deux Jeanne d’Arc qu’on a trop confondues, et desquelles il est peut-être bien difficile aujourd’hui de restituer la première : la publication de M.