Quand il faut de part et d’autre travailler durement pour ne pas tomber dans la dernière indigence, les ailes de l’âme se replient et remettent tous les élans à l’avenir. » Pour l’anniversaire de la mort de sa sœur Eugénie, elle écrit à cette même nièce : « (6 septembre 1854)… Il me serait bien difficile de penser à ton adorable mère sans te mêler aussi dans les larmes que mon cœur lui donne, ma pauvre enfant, toi qu’elle a tant aimée ! […] J’en avais presque honte ; mais je me suis souvenu à propos de ce que vous m’avez dit un jour, qu’il vous serait difficile de faire le portrait physique de ceux que vous aimez. […] Je lui ai demandé qu’elle te récompense de tout le bien que tu fais, qui est d’autant plus méritoire que ta position est bien difficile.