Enrôlé en 1791 dans les volontaires de l’Ain, il eut différentes destinations, mais ne commença à voir l’ennemi qu’en 1792, dans l’armée du Midi, commandée par le général Anselme. […] Cette lettre à Cervoni finit par un retour et un regret sur le passé : Incertitude, dégoût, fatigues, tel est le sort du militaire actuel ; il est bien différent de celui de nos premières années, où nous guerroyions en chantant.