On ne saurait mieux marquer que par de tels traits la différence qui nous sépare de nos pères ; ceux-ci et Désaugiers le dernier, dans leur manière d’entendre le vin, c’est-à-dire de le boire et de le chanter, tenaient un peu plus directement, on en conviendra, des façons du bon Homère et de celles du bon Rabelais. […] tienne, s’est plu à constater la différence : « J’ai, dit-il, je m’en accuse, le tort particulier à ma génération de ne pas assez regretter la gaieté de l’ancien Caveau, où se réunissaient, dit-on, les disciples fervents de Vadé, de Collé et de Piron… » Il y a bien du dédain, bien du sérieux dans ce dit-on.