L’auteur invoque l’intervention d’un dieu pour trancher cette situation insoluble. Le dieu paraît, et c’est un passant aussi étranger à cette querelle d’intérieur qu’il le serait à une rixe de rue. […] Voilà donc le dieu demandé, le justicier invoqué, un bravo d’affaires qui tue un homme, par spéculation, pour assurer la vie d’un ingénieur qui lui rapportera un bénéfice de vingt-cinq pour cent.