Ô dieux ! […] Ô dieux, je vous en conjure, accordez cette grâce à ma piété. » Voilà la Nuit d’octobre de Catulle. […] les dieux (si les dieux y peuvent quelque chose) Devaient ravir ce corps dans une apothéose, D’incorruptible éther l’embaumer pour toujours, Et l’âme ! […] L’âme, mêlée à l’éther sans bornes, était partie vers les dieux ! […] Goethe est allé en s’isolant et en perdant terre de plus en plus, jusqu’à ces hauteurs sereines où le monde l’admire sans amour comme une sorte de dieu olympien ; M.