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1368. (1855) Louis David, son école et son temps. Souvenirs pp. -447

À cette beauté, qui avait je ne sais quoi d’immuable et d’éternel comme celle des dieux, à ce grand caractère qui le faisait participer du Tout-Puissant, de Raphaël et du Jupiter de Myron, il semblait qu’on allait voir briller autour de sa tête les éclairs de l’Olympe et du Sinaï. […] On sait que dans ses fantaisies passagères, le dieu d’amour lui a lancé des flèches cruelles.

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