Il est de ces dieux auxquels on peut dire que leur vol onté soit faite. […] Si tu dois être un jour marqué du divin signe, Rien ne t’approchera de cet honneur insigne Que de le mériter, que de t’en rendre digne ; Tu ne peux rien de plus, tu ne peux rien de mieux Que, des fleurs de ton âme, avec un soin pieux, Orner la place auguste où descendront les dieux.