J’étais destiné de toutes manières à voir la vie sans prestige, mais non sans goût et sans entraînement. […] Si, d’autre côté, il m’était resté une faible portion de la fortune que le cours des choses me destinait, ne fût-ce que le nécessaire (source assez féconde d’indépendance), j’aurais soutenu noblement le rôle d’écrivain. […] J’aurais entrepris à mes frais un écrit périodique destiné à relever toute erreur funeste par ses conséquences dans les livres nouveaux et dans les journaux, ainsi que toute injustice dans les critiques. […] « En plus d’un sens la destinée fait les hommes. […] Quelle froide destinée !