Vous avez beaucoup donné à la monarchie ; et que cette fidélité vous ait coûté les avantages, les emplois, les honneurs auxquels vous destinaient votre naissance, votre institution morale et un mérite si distingué, cela reste du tout négligeable, même à vos yeux ; car, pour bon citoyen que vous soyez, vous ne vous crûtes jamais nécessaire à l’État. […] Ils sont demeurés justement par ce qui passe, et c’est le côté périssable de leur destinée qui a sauvé leur mémoire.