De là la médiocrité — pour ne pas dire plus — de la plupart des pièces ; ce qui guide avant tout l’auteur, c’est le désir patent, que, dans sa pièce, le grand acteur à qui il la destine rencontre tout ce qui peut lui plaire, c’est-à-dire tout ce qui peut lui offrir des effets faciles et bien dans sa nature, flatter ses goûts personnels, même ses manies.