Si loin qu’on aille dans la preuve, il faudra s’arrêter quelque part, et admettre comme évidente sans démonstration une dernière vérité, fondement de toute certitude. […] Ce n’est pas tout : il ne faut pas aller en tout sujet aux dernières limites de la vérité qui se prouve. […] Sinon, il n’y aurait pas d’avocat plaidant pour un mur mitoyen qui ne pût descendre aux derniers principes de la métaphysique, et poser l’insondable problème de l’être.