Je donne au long un seul de ces chapitres affectueux : un des derniers jours d’octobre. […] La beauté des derniers jours de l’automne favorise ce travail difficile, et diminue de quelque chose la fatigue des terrassiers, que, du reste, je n’entends jamais murmurer, ni se plaindre. […] Ses dernières années se sont passées dans les mêmes sentiments, dans les mêmes regrets et les mêmes fluctuations morales qu’il avait éprouvés de tout temps : seulement les craintes et les regrets, ou même les remords chrétiens surnageaient de plus en plus. […] Sa plume eut le tort cependant de trop s’acharner, pour les critiquer, aux derniers écrits de Victor Hugo, ce qui ressemblait trop de sa part à une méconnaissance de leur ancienne liaison si familière et tout agréable. Il m’a légué en mourant un dernier cahier pour en faire l’usage que je jugerais à propos.