. — L« Dernière Idole, théâtre de l’Odéon (1862). — L’Œillet blanc, Comédie-Française (1865). — Les Absents, opéra-comique (1865). — Le Frère aîné, drame en un acte (1868). — Le Petit Chose, roman (1868). — Le Sacrifice, comédie en trois actes (1869). — Les Lettres de mon moulin (1869). — Les Lettres à un absent (1871). — Lise Tavernier, drame en un acte (1872) […] Les pièces sur les enfants font songer aux « enfantelets » qui sourient dans notre littérature depuis Clotilde de Surville jusqu’à Baïf. — Les Bottines, Miserere de l’Amour, le Rouge-Gorge, Trois jours de vendanges, les Cerisiers, les Prunes, Dernière amoureuse, tous ces sourires de dessins si divers, tous ces cris où il y a du roucoulement et de la violence, évoquent une physionomie personnelle d’écrivain curieux de sentiments, épris de la musique des mots, habile à faire tenir une longue et complète vision dans une phrase brève, sensuelle, dont la raillerie confine sans cesse à l’émotion.