Puis les bœufs lents traînaient les chars aux lourdes tonnes, Et le sang des raisins ruisselait du pressoir ; Fêtes des derniers jours, allégresses d’automnes, Vous êtes un adieu comme l’azur du soir !
Puis les bœufs lents traînaient les chars aux lourdes tonnes, Et le sang des raisins ruisselait du pressoir ; Fêtes des derniers jours, allégresses d’automnes, Vous êtes un adieu comme l’azur du soir !