On peut dire a priori que si l’attention a pour cause des états affectifs qui ont pour causes des tendances, besoins, appétits, elle se rattache, en dernière analyse, à ce qu’il y a de plus profond dans l’individu, l’instinct de la conservation. […] Ces deux dernières seront rigoureusement exclues de notre étude, parce qu’elles relèvent de la pathologie des sentiments et de la volonté. […] » Qu’est-ce donc que la septième et dernière demeure qu’on atteint par le « vol de l’esprit » ? […] Laissons les dernières phases de la dissolution des mouvements qui sont purement physiologiques ; revenons au début et voyons ce qui se passe dans la conscience. […] Telle serait donc la condition dernière de l’attention.