Ce profond rêveur qui est au fond de tout grand poète s’est demandé, en Baudelaire, ce que deviendrait la poésie en passant par une tête organisée, par exemple, comme celle de Caligula ou d’Héliogabale, et Les Fleurs du mal — ces monstrueuses ! […] Moi, je demanderai la permission d’écarter le livre, et d’aller à l’auteur, que j’aime ! […] » Et la chose (ce comique) devient si forte, si forte et si visible, qu’on se demande si le haschisch se moque encore de lui quand il nous en raconte les frasques dans la tête humaine, ou si, lui, le narrateur, se moque de nous et prétend être notre haschisch ?