L’Angleterre, nation superbement profonde, qui a donné au Roman tous ses développements et l’a élevé à ce degré de variété, d’analyse et de puissance qui ne peut pas être surpassé, l’Angleterre avait créé aussi la biographie. […] Les défauts ne sont pas, chez lui comme chez tant d’autres, la conséquence des fausses équerres de l’esprit, d’une altération dans le bon sens ou de quelque pauvreté de l’âme ; ils viennent justement de ce qui le crée artiste au même degré qu’il est savant. […] … Ne serait-elle pas plutôt dans l’accroissement de la moralité chrétienne, que ni les lettres, ni les arts, ni les sciences n’ont jamais élevée d’un degré ?