Sandeau, que tous ceux qui le connaissent pour la sûreté de ses relations, pour l’aménité de son caractère, pour ses mœurs gracieuses et bienveillantes, eussent été loin d’accuser sans aucun doute, s’est fait toutefois, avec raison, un devoir de protester publiquement, ne pouvant admettre à aucun degré le soupçon d’avoir trempé dans cette composition équivoque. […] Après l’indignation d’un Alceste, d’un Juvénal, il y a bien des degrés dans la dose de bile et de fiel qui entre nécessairement dans la satire.