En réalité, le plan sur lequel marchent les acteurs est incliné et forme approximativement un angle de trois degrés avec le plan horizontal. […] Or, tout ce qui nous est étranger est, à un degré quelconque, un peu chinois pour nous. […] Il y a donc un degré d’exactitude au-delà duquel la mise en scène deviendrait non seulement antithéâtrale, mais même antiartistique. […] Ou bien y aurait-il un degré d’approximation que l’art ne doive pas franchir ? […] L’acteur doit produire l’apparence de la mort, et son art consiste à atteindre un degré frappant de ressemblance.