Aux degrés moindres de l’hystérie, ce besoin d’attirer l’attention revêt des formes plus innocentes. […] A des degrés modérés naissent les obsessions, que la conscience reconnaît comme maladives. […] A un degré plus élevé, l’obsession devient idée fixe. […] Au degré le plus haut enfin naît l’extase, que M. […] Aux plus bas degrés de la dégénérescence, dans l’idiotisme, l’attention manque absolument.