Les épaules étroites développent, par leur contraste, l’harmonie d’un sein digne, comme celui d’Hélène, de servir d’empreinte aux coupes de l’autel : sein doué d’une virginité éternelle, que l’Amour n’a pas fatigué en l’effleurant de ses lèvres, auquel les quatorze enfants de Niobé pourraient boire sans altérer son contour. […] Pour lui, Dieu ne se sépare pas du Monde, être vivant, indivisible, unique, qui subsiste par lui-même et qui se développe selon des lois infaillibles.