Au contraire chez bien des animaux sauvages comme le lapin, le lièvre, la caille, le perdreau même, la vie sociale est peu développée et la vie individuelle ne s’y soumet guère. […] Sans doute leur en faudrait-il une encore si leur vie individuelle était incohérente, troublée et que leur intelligence fût assez développée cependant. […] Ces théories qu’entrevit Comte, que développèrent M. de Roberty et plus tard M. […] Et, comme dans le monde social le trouble était plus grand, l’appareil qui devait y remédier s’est aussi bien plus largement développé. […] L’homme, par le hasard, si je puis dire, de ses origines animales, se trouvait assez bien organisé pour la vie individuelle, assez mal adapté à une vie sociale développée.