Ainsi se développe le poëme entier, action et personnages, hommes et dieux, antiquité et moyen âge, ensemble et détails, toujours sur la limite de deux mondes : l’un sensible et figuré, l’autre intelligible et sans formes ; l’un qui comprend les dehors, mobiles de l’histoire ou de la vie, et toute cette floraison colorée et parfumée que la nature prodigue à la surface de l’être, l’autre qui contient les profondes puissances génératrices et les invisibles lois fixes par lesquelles tous ces vivants arrivent sous la clarté du jour1289.