Stendhal, dans son traité de l’Amour, nous épargna du moins la crudité scientifique du détail, Michelet ne nous l’épargne point. […] Sans le ridicule abondant en beaucoup de détails de cette production incroyable, et le comique grotesque de certains enthousiasmes et de certaines attitudes de l’auteur, le livre peut-être aurait un succès.