Malgré le dépit très vrai de vaincu et le désir très vif d’être impertinent pour le vainqueur qui anime l’auteur de l’Angleterre au xviiie siècle, on reconnaît pourtant dans ce nouveau livre l’impérissable goût de la substance bien connue… C’est du navet aigri, mais, au bout du compte, c’est toujours du navet !