Mais quand se désire savoir l’unique-dualité et qu’alors elle engendre son désir de Soi et son Plus en quoi elle se phénoménise en Temps dans l’Espace ainsi pluri-numéralement délimité : d’éternité et pour éternité et dans l’illimité, d’un délivrant et meilleur devenir la Matière devient. […] Et, de l’attraction et la pénétration inorganiques, organique par l’Être sortait, désir plus que le désir, une primordiale volonté à devenir. Et, qui est en un seul deux êtres dont un autre s’engendre, dans les Génitoires et la Vulve et le Fruit de leur union, l’être démontra, Mâle et Femelle, les deux désirs et, engendré, leur désir d’un Fruit : et la Matière devint sensitive. […] Exemple, où nous parvenons à l’entendement que la Matière en laquelle immanent en un seul deux désirs dont un autre s’engendre, qui est son désir du Fruit en qui elle se saura, — évolue expansivement selon un signe elliptique… Or, nous ne pouvions assentir à la proposition de Goethe, de voir selon une « spirale » le processus universel, — pour ce, que si elle en démontre heureusement le mouvement d’expansion et l’originelle sortie hors du Cercle, elle n’en rend ou n’en rappelle pas en même temps les temps de rétractive reprise : et ainsi, n’exprime pas, nous le verrons, tout le phénomène de l’évolution qui n’est pas égal et continu. […] Assertion à interpréter en disant que le son pris en lui-même serait ainsi qu’une immatérielle transition entre la matière dépourvue du pouvoir de sentir, et l’organisme-vivant arrivé à l’expression émue de son instinct, en une sorte d’amorphe désir et de pré-volonté : par quoi nous passons au Son-articulé.