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202. (1870) Causeries du lundi. Tome X (3e éd.) « Léopold Robert. Sa Vie, ses Œuvres et sa Correspondance, par M. F. Feuillet de Conches. — II. (Fin.) » pp. 427-443

Son désir de terminer ses quatre tableaux est bien positif : c’est là qu’il semble fixer son vœu d’artiste et borner le plus fort de sa tâche. […] Il y a un moment où, dans son désir de s’élever au beau et au sévère grandiose, il semble près de sortir de sa théorie et d’en adopter une autre, celle d’un idéal qu’on puise en soi-même et que l’artiste, pareil à Phidias, fait descendre comme d’un Olympe pour agrandir ou ennoblir la réalité. […] Il le sentait bien, il avait un désir de se surpasser qui l’entraînait au-delà des bornes : « Ce que vous ne savez pas encore, cher ami, écrivait-il à M. 

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