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141. (1898) XIII Idylles diaboliques pp. 1-243

Ici, tu dois oublier ta vie antérieure, faire le vide en toi, renier même tes désirs et tes affections. […] Le lendemain, dès l’aurore, selon mon désir, on vint m’éveiller. […] Ton désir a brisé tes chaînes. […] Si je cédais à ton désir, si je m’affligeais avec toi ou si je dorlotais les pensées veules qui t’obsèdent, je ne ferais qu’accroître ton mal. […] Je bois au Désir, fils de l’Amour et de la Lutte, au Désir qui meut les sphères, au Désir qui guide l’homme vers la Beauté, au Désir qui mêle les âmes du feu, du fluide, de l’effluve, du souffle et du flot et qui les irradie à travers l’Astral pour la formation de l’Autre-Adam dans l’Autre-Matière.

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