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201. (1870) Causeries du lundi. Tome X (3e éd.) « Vicq d’Azyr. — I. » pp. 279-295

Ces premières fatigues, ces luttes premières portèrent une précoce atteinte à la santé de Vicq d’Azyr, qui était délicate sous son vernis brillant. […] De telles paroles prononcées par lui le 27 janvier 1778, au moment où la querelle s’envenimait, était la plus délicate vengeance ; elles devaient être goûtées et applaudies d’un public composé de plus en plus de gens du monde, et qui en avait les mœurs. […] Ici Vicq d’Azyr sait être à la fois délicat et fin en songeant à son auditoire, et sans sortir des plus justes tons.

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