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198. (1890) L’avenir de la science « XXII » pp. 441-461

Je pense au rire délicat qu’aura excité dans quelque coterie de province la lecture de ces jolies choses. […] La plaisanterie oblige à n’envisager les choses que par leur grossière apparence ; elle s’interdit les nuances délicates. […] Le jour n’est pas loin où tous ces prétendus délicats se trouveront si nuls devant l’immensité des événements, si incapables de produire qu’ils tomberont comme une bourse vide. […] La critique est fine et délicate, subtile et ailée, sans être frivole.

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