C’est un grand signe pour lui d’avoir été hautement préféré par celui de nos siècles littéraires où nos qualités et nos défauts se sont le plus librement développés, ont le moins profondément subi l’influence des littératures anciennes ou étrangères. […] Et qu’avons-nous à nous mêler de ces affaires de cœur, sur lesquelles les lumières nous font presque absolument défaut ? […] « On veut que le pauvre soit sans défaut !