J’indique les défauts qui font que, pour moi et jusqu’à nouvel ordre, malgré l’arrêt un peu empressé de certains oracles, Mme Swetchine n’est pas encore un classique. […] Elle se fait, croyez-le bien, les objections ; elle se rend bien compte que, pour lui donner raison, il faut commencer par tourner le dos à la nature et se placer « dans la partie la plus providentielle des desseins de Dieu. » Aussi tous ceux qui feront ce chemin sous sa conduite et en fils dociles passeront-ils légèrement sur ses défauts pour se récrier à tout moment sur la beauté des points de vue.