Zola, — car, pour le dire en passant, ce n’en est jamais une d’avoir suivi, comme l’on dit, son tempérament, et le mieux, en tout cas, est toujours de commencer par y résister, — c’est qu’on l’a poussé de toutes parts dans la voie de ses pires défauts. […] Pour trouver La Terre ce qu’elle est : une rapsodie détestable ; il ne fallait pas commencer par louer dans Germinal, dans Pot-Bouille, dans Nana, ni dans L’Assommoir les défauts naissans dont La Terre n’est après tout que le monstrueux épanouissement.