Est-ce que je me dissimule ses défauts ? […] Mais cette « critique des défauts » poussée à la truculence lyrique ne nous retiendra pas. […] Le critique des défauts s’adresse, lui, aux auteurs. […] Et la critique des beautés y réussit mieux que la critique des défauts. […] Mais ce qui était évidemment un défaut chez le chef de la justice, rappellerons-nous un défaut aussi grave chez le critique ?