Ce défaut se fait sentir dans plusieurs de leurs pièces, et surtout dans les tragédies d’Euripide. […] C’est peut-être le défaut qu’on peut reprocher à Athalie. […] C’est le défaut de Corneille ; il fait toujours dire à ses héros qu’ils sont grands : ce serait les avilir, s’ils pouvaient l’être. […] Notre amour propre voit avec plaisir nos défauts unis à de grandes qualités. […] Il y en a un qui nous cause du dépit, parce qu’il tient à un défaut qui prend sur notre amour-propre : tel est le sot orgueil.