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2183. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre II. La Renaissance. — Chapitre I. La Renaissance païenne. » pp. 239-403

Son visage était si beau, qu’il ne semblait point de chair,  — mais peint célestement du brillant coloris des anges,  — clair comme le ciel, sans défaut, ni tache,  — avec un parfait mélange de toutes les belles couleurs ; — Et dans ses joues se montrait une rougeur vermeille,  — comme des roses répandues sur un parterre de lis,  — exhalant des parfums d’ambroisie,  — et nourrissant les sens d’un double plaisir,  — capables de guérir les malades et de ranimer les morts.

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