Défauts du livre : sa portée philosophique. — 3. […] Le livre de Montesquieu est loin d’être complet et sans défauts. […] C’est encore un défaut des Considérations — et une fâcheuse tendance du génie de l’auteur — que cet amour des généralisations qui conduit à ériger témérairement en lois des phénomènes aperçus une fois dans l’histoire. […] Ce défaut d’ordre dans l’exposition n’est que le signe d’un manque d’unité dans la conception. […] Et d’abord on saisit deux défauts à cette méthode d’information.