Or, quand un homme personnifie en lui cette physique du catholicisme, l’instrumentum regni par lequel il s’est constitué et a gouverné, n’étudier dans cet homme que le travail de son esprit appliqué aux stériles contemplations de la métaphysique, c’est prouver assurément qu’on est un métaphysicien, mais c’est aussi découvrir en soi la pente fatale à ne voir que les petites choses, quand il y a les grandes à côté.