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488. (1886) Revue wagnérienne. Tome I « Paris, 8 février 1885. »

« J’ai lu et relu, continue-t-il, cette page étrange ; je l’ai écoutée avec l’attention la plus profonde et un vif désir d’en découvrir le sens ; eh bien, il faut l’avouer, je n’ai pas encore la moindre idée de ce que l’auteur a voulu faire… » Berlioz ne pouvait cependant méconnaître absolument la valeur de ce prélude : « Ce compte-rendu sincère, dit-il, met assez en évidence les grandes qualités musicales de Wagner. […] Mais les traîtres découvrirent le lieu du rendez-vous. […] Le temps qu’ils passèrent dans cette tour fut un temps de joie parfaite ; mais la femme du nain était parmi les suivantes de la reine, et, au bout de quelque temps, elle découvrit que la damoiselle d’Irlande n’était autre que le chevalier Tristan.

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