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1872. (1910) Propos de théâtre. Cinquième série

Délicatesse, sensibilité, éloquence du cœur, finesse dans l’expression des sentiments qui s’ignorent encore et déjà se découvrent eux-mêmes, composition libre et aisée, mais surveillée cependant et habile, style quelquefois un peu froid mais souvent exquis, le Mariage de Victorine est une perle dramatique de la plus belle eau. […] Sans doute, il y a des fautes de français, ce qui est toujours fâcheux, mais ce qui n’est pas pardonnable à un homme qui reproche à « l’école arriviste » d’avoir « découvert que le meilleur moyen de rafraîchir le lieu commun est de l’entourer de solécismes ».

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