Je vise toujours, — et je crois que c’est un principe essentiel en fait de critique contemporaine, — à juger les écrivains d’après leur force initiale et en les débarrassant de ce qu’ils ont de surajouté ou d’acquis. […] Hugo, de Vigny, et, tout en réservant son indépendance, il se plaçait pour l’examen des œuvres au point de vue des auteurs ; il leur appliquait les règles et les principes d’après lesquels ils avaient désiré être jugés eux-mêmes.