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571. (1902) L’observation médicale chez les écrivains naturalistes « Chapitre IV »

L’état de la bouche, béante comme un trou, des dents “déchaussées et jaunies par un tartre fuligineux”, de la langue, sèche, coupée de crevasses, noirâtre et tremblante ainsi qu’une “langue de perroquet” de même la coloration violette des gencives, sont reproduits d’après l’observation directe, et je n’ai rien enjolivé, ou plutôt… enlaidi. […] D’après Zola.

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