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288. (1870) Portraits de femmes (6e éd.) « MADAME DE DURAS » pp. 62-80

Ce serait bien incomplétement connaître Mme de Duras que de la juger seulement un esprit fin, une âme délicate et sensible, comme on le pourrait croire d’après son influence modératrice dans le monde et d’après une lecture courante des deux charmantes productions qu’elle a publiées. […] Le salon de la maréchale de Beauvau est caractérisé à ravir par l’héritière de son goût et de ses traditions ; les souvenirs de la Terreur y revivent d’après des empreintes fidèles.

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