C’est un esprit d’après la Révolution française, sans hostilité (du moins montrée) contre le Catholicisme, mais parfaitement indifférent à sa destinée et trouvant même bon, dans les intérêts de la civilisation comme il la comprend, qu’il ait perdu la partie au temps de Philippe II ; — car il faut bien le dire, nous, les vaincus !