D’ailleurs, ces molecules encore trop grossieres n’auroient dû s’élever dans l’air qu’après s’être extenuées en passant à travers de la premiere enveloppe comme à travers un tamis. […] Telles sont encore les pestes qui s’allument quelquefois dans un pays où elles n’ont point été apportées d’ailleurs, et qu’on ne sçauroit imputer qu’aux altérations arrivées dans les émanations de la terre même.