D’ailleurs l’idée fondamentale de la démocratie, c’est la souveraineté populaire. […] La souveraineté populaire et l’égalité des conditions sont des principes dont on peut abuser, que l’on peut corrompre, mal entendre, mal appliquer, mais enfin des principes légitimes, bons par eux-mêmes, et une société qui repose sur ces principes est supérieure, toutes choses égales d’ailleurs, à celles qui s’appuient sur des principes opposés. […] Le quidquid principi placuit était leur règle, que le prince d’ailleurs fût le monarque ou le peuple : despotisme de part et d’autre. […] D’ailleurs où est la limite des capables et des incapables ? […] D’ailleurs de quelle capacité s’agit-il ?