De là, l’amertume, très condamnable d’ailleurs, de Molière contre Boursault dans l’Impromptu de Versailles. […] On pourra dire un de ces jours : « Ce n’est pas le besoin d’argent où les vieillards peuvent appréhender de tomber un jour qui les rend avares ; car il y en a de tels qui ont de si grands fonds qu’ils ne peuvent guère avoir cette inquiétude, et d’ailleurs comment pourraient-ils craindre de manquer dans leur caducité des commodités de la vie puisqu’ils s’en privent eux-mêmes volontairement pour satisfaire à leur avarice ?