Il avait d’ailleurs puisé aux mêmes sources de l’idéalisme anglais et il offre avec Baudelaire deux traits communs : la précocité et le sentiment de son impuissance : Et dans mon être à qui le sang morne préside L’impuissance s’étire en un long bâillement. […] Ce fut, d’ailleurs, comme on l’a déjà remarqué, une évolution de pensée sans profit pour la poésie, car Mallarmé n’était plus à l’âge où l’on recommence sa vie.