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364. (1857) Causeries du lundi. Tome IV (3e éd.) « Madame Necker. » pp. 240-263

Pour Gibbon, en racontant les impressions qu’il reçut à ce retour, il fait semblant d’être un peu piqué dans son ancien amour ou dans son amour-propre d’amant sacrifié ; mais, en y regardant bien, on voit qu’il est plutôt charmé de trouver désormais en Mme Necker, quand il viendra à Paris, une introductrice naturelle auprès de la meilleure société, auprès surtout de ce cercle de philosophes et de beaux esprits dont il était si curieux et si digne, lui qui ne vivait que de la vie de l’esprit. […] Il est curieux de voir jusqu’où elle a poussé et jusqu’où l’on a poussé autour d’elle ce principe d’erreur ; car je n’excepte point M.  […] Les curieux peuvent chercher des considérations très fines sur ces rapports des esprits et du pays, au tome second, p. 1191, de l’ouvrage intitulé Le Canton de Vaud, sa vie et son histoire, par M. 

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